Grand Sauvoy
Le décor sculpté constitué de 6 panneaux rectangulaires en bas-relief est réalisé par le nancéien Victor Huel fils (1875-1953) spécialisé, à la suite de son père, dans la sculpture religieuse.
Les baies latérales situées sous la coupole étaient surmontées de panneaux rectangulaires sculptés en bas-relief de scènes "représentant la jeunesse au travail recevant la bénédiction du Christ" (panneau central) et de la devise "Vous qui travaillez venez à moi" ; chaque panneau représentait un corps de métier différent : métallurgistes, serruriers, menuisiers, typographes (d'après une description faite par l'écrivain lorrain René d'Avril dans le journal l'Eclair du 13 janvier 1934). L'ensemble du décor de la chapelle (sculpture, vitrail) était lié au thème du travail manuel, "les inscriptions exaltant Jésus réhabiliteur du travail manuel, soutien et réconfort des travailleurs [...] les jeunes pensionnaires [...] se sentiront véritablement chez eux, dans le sanctuaire de Jésus ouvrier, où tout leur parlera de la dignité du travail chrétien." (Semaine religieuse du diocèse de Nancy, 13/01/1934).
Le décor sculpté constitué de 6 panneaux rectangulaires en bas-relief est réalisé par le nancéien Victor Huel fils (1875-1953) spécialisé, à la suite de son père, dans la sculpture religieuse.
Les baies latérales situées sous la coupole étaient surmontées de panneaux rectangulaires sculptés en bas-relief de scènes "représentant la jeunesse au travail recevant la bénédiction du Christ" (panneau central) et de la devise "Vous qui travaillez venez à moi" ; chaque panneau représentait un corps de métier différent : métallurgistes, serruriers, menuisiers, typographes (d'après une description faite par l'écrivain lorrain René d'Avril dans le journal l'Eclair du 13 janvier 1934). L'ensemble du décor de la chapelle (sculpture, vitrail) était lié au thème du travail manuel, "les inscriptions exaltant Jésus réhabiliteur du travail manuel, soutien et réconfort des travailleurs [...] les jeunes pensionnaires [...] se sentiront véritablement chez eux, dans le sanctuaire de Jésus ouvrier, où tout leur parlera de la dignité du travail chrétien." (Semaine religieuse du diocèse de Nancy, 13/01/1934).